Le principe de la photothermolyse fractionnelle repose sur la formation de blessures thermiques isolées microscopiques qui sont entourées par des zones de tissus épargnés, viables, décrivant un modèle géométrique qui ne dépend pas de la distribution des chromophores.
Le tissu épargné entre deux lésions qui subit le traitement fractionnel de l’épiderme semble simuler une rapide réépithélialisation des tissus endommagés.
Avec la photothermolyse fractionnelle, la peau intacte, non endommagée qui est située tout autour de chaque zone traitée sert théoriquement de barrière contre l’infection et de réservoir pour une rapide guérison dans le cadre d’une migration des kératinocytes dans la colonne de traitement.
Par contre, une protection complète de l’épiderme tout entier dans le cadre d’un surfaçage traditionnel, non-ablatif, exclut tout renouvellement rapide de l’épiderme.
La photothermolyse fractionnelle constitue un excellent compromis en traitant une partie de l’épiderme tout en permettant aux portions épargnées de contribuer au processus de cicatrisation.
La couche cornée de l’épiderme reste également intacte, suite à un traitement fractionnel non-ablatif.
Cela permet à la peau de maintenir sa fonction de barrière afin de défendre l’organisme contre toute infection microbienne et de minimiser le risque de manifestation d’autres effets secondaires potentiels, tels que des plaies suintantes et la formation de croûtes.
Par conséquent, la peau a une apparence visuelle intacte pour l’œil humain du fait de la couche cornée de l’épiderme préservée et de la présence de blessures microscopiques indétectables.
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