Le principe de la photobiomodulation est très proche de la photosynthèse. La stimulation des cytochromes des mitochondries via les photons émis par la LED entraîne une production d’Adénosine Triphosphate (ATP).
Ce processus permet de fournir de l’énergie nécessaire au renouvellement cellulaire, le métabolisme cellulaire est activé et va stimuler la néocollagénèse.
La lampe MEDISOL émettant dans le rouge et l’infrarouge (630nm-850nm), proche de l’absorption du cytochrome, est la plus adaptée à la production de néocollagénèse par photobiomodulation.
À chaque cas correspond ainsi un traitement spécifique, pour des résultats ciblés et une efficacité maximale.
Les applications varient en fonction de la couleur de la lumière émise. Par exemple :
La lumière rouge
- A une action stimulante sur les fibroblastes et autre cellule. Elle stimule la production de collagène et d’élastine et active le métabolisme et le renouvellement cellulaire, ce qui permet la remise en tension des tissus.
- A une action sur les mélanocytes et la mélanine grâce à sa pénétration profonde dans le derme. Elle diminue l’hyperpigmentation cutanée telle que les taches dues au soleil, taches post inflammatoires.
La lumière bleue
- A une action antibactérienne, détruit les bactéries pour diminuer les poussées de boutons et atténue l’acné inflammatoire grâce à sa profonde pénétration pour atteindre les glandes sébacées.
- Effet purificateur et cicatrisant au niveau du derme.
- Favorise la cicatrisation.
La lumière blanche
Resserre les pores et traite la peau en profondeur.
La lumière jaune
- A une action anti-inflammatoire.
- Elle éclaircit les cicatrices.
- Elle décongestionne et draine les tissus.
- Elle apaise les symptômes de la rosacée.
- Calme les coups de soleil.
Les arguments en faveur de l’efficacité de la photobiomodulation ne manquent pas.
La lumière rouge reste incontournable, seul ou associé à l’infrarouge (IR).
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